LA PHOTOGRAPHIE, UN SOIN ?

 D'après mon expérience, je vais vous démontrer l'importance thérapeutique de la photographie

Effectivement, surtout pour ceux qui ont eut des problèmes psychiques, une vision concrète et créatrice, technique ou non, peut améliorer l'état de peur et de psychose.

Peut-être je vais trop loin, en disant que la photographie est un support, aidant le patient à être plus détaché de ses problèmes.

Je ne dis pas cela par hasard, car il est des exemples, où par la création d'image, plus ou moins concrètes, aide pour une meilleure adéquation et positionnement plus réaliste et réalisable.

Je reste de plus en plus persuadé, que les bénéfices de la photographie est un plus, permettant de réaliser et se réaliser, dans la vie de tous les jours.

C'est pourquoi, la photographie reste primordiale, non seulement dans l'art, mais aussi dans les soins apportés aux patients.

Le regard a-t-il son importance et sa place, dans la réalité ?

L'HISTOIRE ET LES LEGENDES

 Dans l'Histoire, c'est l'ensemble de textes vérifiés et tronqués par des sagas et des mythologies.

Savoir où est la vérité, se fait par recoupements, comme une enquête policière, ce qui colore et rend vivant, ce qui ne l'est pas relie de l'imaginaire.

C'est pourquoi, entre l'Histoire et les légendes, il n'y a qu'un pas, cela dépend de l'interprétation, de l'entendement.

Pour cela, il faut faire attention, avoir l'esprit critique et s'exercer d'être le plus objectif possible.

La fantaisie, le fantastique, l'héroïc fantasy, cela fait partie du folklore de l'Hidstoire.

Pour être historique, il faut être proche de la vérité, comparer différents auteurs, mettre en marche la notion d'hypothèses, de thèses et d'antithèses.

L'art de bien raconter, narrer, est ancestral, mais peut être enjolivé, exagéré, c'est ce qu'on appelle les contes, car amplifiés pour rester populaire et pour les enfants.

L'Histoire, quant à elle, utilise des marqueurs, tels les dates, les évènements, les lieux, dans un contexte universel, de la recherche d'une ou plusieurs vérités.

Donc, faut-il réellement mettre en doute les libertés, pour mieux mettre en place le purement historique ?