C'est l'histoire d'un poète photographe, qui met en oeuvre sa vision de la réalité, tout en la magnifiant, pour donner naissance à une errance, maîtrisée, afin de mettre en oeuvre la beauté et la cohésion entre rêve et réalité, par les jeux de lumières.

LUMIERE : FORMES ET VOLUMES

 La lumière, surtout en photographie, permet de souligner formes et volumes, c'est à dire les mettre en valeur, pour mieux appréhender et comprendre la vie en général.

Le sombre est soustractif, attire la lumière pour mieux la refléter, c'est pourquoi l'obscurité est aussi importante en photographie.

Par les lumières et l'obscurité, nous soulignons et mettons aussi en valeur les formes, respectons la proportionnalité des volumes, du corps et de la composition, pour mieux traduire la réalité,  telle qu'elle est.

 La lumière pour les formes et les volumes est primordiale, car elle dessine ses contours, met en relation la vie et l'inertie, la fixité, de l'objet ou du sujet.

Pour que l'objet ou le sujet soit plus vivant, il faut que les formes et les volumes soient proportionnels à des lumières, plus ou moins directes, plus ou moins douces.

C'est pourquoi, la lumière pour ses formes et volumes, son indubitablement liés à leur proportion dans la diffusion.

La diffusion de la lumière sur l'objet ou le sujet, devient fondamentale, car permet une certaine composition harmonieuse.

Voilà pourquoi, la lumière fait partie de la vie, sans elle il n'y a ni formes ni volumes, permettant  une réalité stable et équilibrée, surtout plus cohérente et logique.

La schizophrénie

 

Je ne suis pas spécialiste, ni médecin, mais d'après mon vécut, je vais essayer de vous en dire plus.

D'après les scientifiques, la schizophrénie est une dégénérescence, voire une rupture psychique, due à un choc traumatique, soit dans l'enfance, soit un évènement douloureux.

Humblement, nous pourrions dire que le schizophrène, est une personne qui confond réalité et fiction, qui est renfermé dans son univers et ne peut en sortir que par l'aide de professionnels.

Nous pouvons dire également que le schizophrène a un comportement de prédateur, car ce qui lui appartient ne lui suffit pas, il lui en faut plus, toujours plus, cela n'a guère de limite.

Pour raisonner un schizophrène, rien ne sert de lui parler, de dialoguer, il faut d'abord l'isoler, lorsqu'il est en crise, pour qu'il revienne et redescende vers la réalité,  puis l'intégrer progressivement( dans la limite de ses disposition et de sa vie privée.

Cela n'est pas simple de côtoyer des schizophrènes, car ils sont envahissants et envahis.

Ce sont un peu comme des "vampires psychiques", comme dirait un psychiatre célèbre.

C'est pourquoi, il faut fixer les limites immédiatement, couper court à leurs délires et surtout être ferme et courtois, bref neutre.

Ce n'est pas évident pour le milieux des proches, scolaire et institutionnel, c'est pourquoi la schizophrénie doit être traitée par les spécialiste.

Alors, pour ne pas les marginaliser, les stigmatiser, faut-il, pour autant, les ignorer ?