dimanche 20 juin 2021

LA PHOTOGRAPHIE ET L'ENFANT


 Le regard est capital pour tous, c'est pourquoi, il faut apprendre à l'enfant à regarder, observer, enregistrer, analyser une image, pour une meilleure appréhension et compréhension.


Le regard de l'enfant est différent, du fait qu'il ne soit pas éduqué et formaté, il est plus spontané et inné, des formes, des lignes plus approximatives, quitte à ce que l'esthétisme vienne au second plan.


L'enfant, contrairement à l'adulte, doit apprendre par la coordination oeil/index, c'est à dire du geste et du regard, l'exactitude et la précision, donc la manipulation de l'appareil se fait en étapes, le commentaire de l'mage passe en second plan.



C'est pourquoi, il faut donner à l'enfant toutes les options, pour une meilleure mise en place de la prise de vue, affûter son esprit d'analyse et critique.


Voilà pourquoi, la relation photographie/enfant va de pair, cela lui permet de voir des champs du possible de son environnement proche ou lointain.


Donc, faut-il se rendre à l'évidence que l'enfant découvre la vie et fait de son imaginaire, une nourriture spirituelle ?



jeudi 17 juin 2021

LES DEGRADES ET LES VALEURS EN DESSIN ET EN PHOTOGRAPHIE


 L'importance des volumes, des formes et surtout de la perspective, vient des dégradés de couleurs, qui se transforment en valeur, pour une représentation, servant de modèle.


Les dégradés et les valeurs de gris, par les ombres, permet de mettre en relief et en perspective, les différents objets, formes du corps, afin d'avoir un rendu plus réaliste.


Les variations sont le résultat de ces dégradés, qui donnent des valeurs, permettant une troisième dimension, afin de donner une meilleure adéquation et esthétique, beaucoup plus réaliste.


Cela n'est réalisable qu'après une étude et une observation approfondie des oeuvres déjà en place ou des modèles vivant et existant dans la réalité.


C'est pourquoi, il faut tenir compte des proportions, de l'échelle, du cadre et de la composition, pour une adéquation, plus réaliste.


On se représente schématiquement la vie par des formes géométriques, des lignes, que nous pouvons estomper, en faisant des ombres et des dégradés.


Voilà pourquoi, l'importance de la mise en place et de la lumière, est fondamentalement lié à l'art.


Donc, pourquoi innover, alors que tout existe dans notre univers ?



samedi 5 juin 2021

LE CULTE DE LA FEMME AU PLEOLITHIQUE SUPERIEUR


 Dans les grottes ornées, datant d'il y a 30 000 ans, nous voyons très peu de représentations humaines, mais plutôt des symboles et des signes, synonymes  de la féminité.


Plus tard, vers -16 000 ans, nous voyons des sculptures, appelées "venus", gravées en bas relief, avec leur anatomie exagérée(seins, fesses), qui pourrait signifier l'enfantement et la fertilité.


La femme est bien représentée, aussi présente que l'homme, mère vénérée, car elles s'occupent plus des tâches ménagères et des enfants, mais pas seulement, elles participent aux battues pendant, elles-mêmes chasseresses, à la taille des outils et des armes, bref elle est l'alter ego des hommes.


C'est pourquoi, un culte particulier à la féminité, dont les traces apparentes sont avant 40 000 ans, pour lui rendre hommage, car elles fait perdurer les générations.


Différences anatomiques, certes, mais cela veut il dire tâche du quotidien différentes, ou bien une complémentarité harmonieuse ?