jeudi 30 avril 2020

L'enfance


C'est une période primordiale de la vie, car elle est le créneau par lequel, l'expression, l'expressivité, la création et surtout la formation physique et psychologique, naît.
L'enfance doit être respectée, car être adulte trop vite, ne permet pas un développement individuel et même collectif.

C'est pourquoi, l'enfant est considéré dorénavant comme une personne, ayant des droits, donnant lieu à des prérogatives, afin de permettre une certaine cohérence, dans la responsabilité civile.

 Voilà pourquoi, en Europe, l'enfant a une place privilégiée, car elle lui permet, tout en étant protégé, de se développer, afin de permettre de bâtir la société de demain.
Mais cela n'est pas partout dans le monde, la place de l'enfant est importante, car nous savons qu'ils bâtissent notre avenir, tout en mettant en œuvre un présent qui peut être plaisant.
Donc, l'enfance est fondamentalement liée à l'éducation, d'abord des parents, puis de la société.
Pourquoi ne pas privilégier une éducation, qui tout en étant cadrée, soit naturellement liées à des valeurs moins strictes ?

samedi 18 avril 2020

A chacun son parcours


Je pense que chacun a sa chance, le tout est de savoir saisir l'opportunité qui vient vers soi, ou bien aller la chercher, la provoquer.
Egoïstement, je pense à mon parcours, atypique et bien cahotique, qui me mène vers des passions, qui m'emporte vers des créations, me permettant non pas de vivre, mai de m'addonner pleinement à une créativité.
Cela permet d'échanger, de mettre en place des relations insoupçonnées et insoupçonnables, prouvant que l'être humain est capable de s'adapter en toutes circonstances.
Si seulement nous puissions vivre de ce qu'il nous plaît vraiment, avoir le confort physique et psychologique, nous pourrions donner et recevoir du plaisir, permettant un maintient harmonieux, d'un équilibre certain.
Faut-il donc sacrifier et se sacrifier pour les autres, afin d'avoir la reconnaissance pour l'œuvre que nous avons faites toute notre vie ?

 

dimanche 12 avril 2020

L'artiste et l'archéologue


Reconstituer le passé, par tous les supports, tel est le rôle de l'archéologue.
Quant à l'artiste, il reconstitue une réalité qui lui est propre, proche d'une vérité ou non.
La fantaisie, chez l'archéologue, est moins de mise que chez l'artiste, l'archéologue est plus scientifique, c'est à dire s'appuyant sur des faits concrets, physiques, alors que l'artiste a une certaine liberté, abstraite, pour une conceptualisation tout à lui.
La rencontre de l'artiste et de l'archéologue peut être édifiante, car tous deux essaient de représenter, avec un certain réalisme, ce qui est commun à tous.
C'est pourquoi, être à la fois artiste et archéologue, permet de donner une chance, ou sa chance, à celui ou celle qui veut reconstituer ou se reconstituer une image claire, nette et précise du passé.

Mais, il ne faut pas se faire d'illusions, l'artiste fait allusion au passé, alors que l'archéologue vit le passé, en tant que tel.
Voilà pourquoi être artiste peut être un plus, mais handicape, car trop d'émotion tue une science, où l'être humain est au centre.
Pour être tout à fait franc, le fait d'avoir vécut et subit les deux, il faut une certaine solidité psychologique, sinon nous mélangeons les genres et sommes perdus.
Ces deux notions sont belles, car mystérieuses et extrêmement attractives;
Donc il faut mettre un bémol sur un bel enthousiasme et travailler comme un forcené, pour réussir à s'exprimer selon soi-même.
En plus, ce qui différencie l'artiste de l'archéologue, c'est l'inspiration, l'imagination, le rêve.
Ce qui les rassemblent, c'est l'imagination, la conceptualisation plus ou moins réaliste, d'un passé omniprésent.
Pour conclure, c'est bien d'être un peu des deux, savoir rêver en étant ancré dans la réalité, qui, hélas ou heureusement, nous rattrape sans cesse.
 Alors, ¨pourquoi se priver de rêve, nous qui sommes confinés dans des valeurs soi-disant sûres ?

vendredi 3 avril 2020

De la nudité


Elle doit être prise dans le sens général, non pas comme une conduite pornographique et voyeuriste.
Le naturisme existe depuis le début du XXe siècle, cela est un mode de pensée, mais aussi une philosophie, permettant aux êtres humains de se rapprocher de la nature.

La nudité, en elle-même, est saine, du moment où la perversité et les arrières pensées sont mise de côté.
Le nu artistique en dessin, en peinture, puis en photographie, est une discipline, permettant de mettre en valeur le corps humain, sans pour autant tomber dans l'erreur de montrer, mais plutôt de suggérer.
Pour l'érotisme, le mieux, est de se reporter aux auteurs célèbres, qui suggèrent et non pas font étalage, d'un corps magnifié et non pas estropié et salit.
De toute façon, notre corps nous appartient dès notre enfance, nous sommes protégés par la loi et une certaine moralité, faisant qu'à notre majorité, nous ayons notre propre libre-arbitre.
Alors, pourquoi être aussi hypocritement confinés dans une morale puritaine, ne permettant pas à la création et la créativité de s'exprimer ?