L'archéologie et l'art

L'archéologue est chargé de reconstituer, par des restes positifs ou négatifs, le passé d'une période et d'une région donnée

L'artiste transforme, transmet, met en valeur la réalité, dans un temps donné

C'est pourquoi, l'art et l'archéologie ont en commun le temps et la façon de l'analyser, de l'exploiter, même de l'explorer.

Nous trouvons de multiples différences, tels que les supports, les moyens et les techniques mis en œuvre.

Mais nous trouvons un fil conducteur, qui est l'universalité, l'approche et l'appréhension de la réalité.

Donc, pourquoi ne pas donner corps à une science qui structure l'art, sans pour autant le défigurer ?

Etre vigilant n'est pas une maladie !

Faire attention à ce que l'on dit et fait, est primordial pour les relations avec ses semblables.

Un minimum de contrôle sur soi-même, encadrer, dynamiser, bref animer, devient un métier, qui peut être très enrichissant.

Cela peut donner lieu à une mise en place d'une socialisation d'une population marginalisée, car estimée soit comme dangereuse, soit stigmatisée comme improductive.

C'est pourquoi, il faut donner les moyens aux personnes d'avoir une seconde chance, leur permettant ainsi de réaliser et de se réaliser.

Faut-il absolument obliger les gens ou est-ce simplement volontaire, de vouloir du bien-être, si ce n'est du mieux-être ?

L'archéologie ou la philosophie du progrès

Avant tout plan d'urbanisme ou de construction, surtout dans les zones sensibles ou historiques, nous faisons appel à l'archéologie, afin de permettre une étude, plus ou moins exhaustive, des sols et des infrastructures, existantes ou non.

L'urbanisme est né de découvertes et d'inventions, fortuites ou non, afin de permettre une amélioration du quotidien, dans le milieu urbain ou rural.

Voilà pourquoi, urbanisme et archéologie vont de pair, car permet une avancée technologique et historique, par ce fait une évolution, qu'on appelle progrès.

Le progrès permet une amélioration à moyen terme, car à court terme il y a bouleversement, si ce n'est révolution, des valeurs acquises par le passé.

C'est pourquoi, les sciences humaines et la technologie doivent jouer de concert, afin qu'il y ait harmonisation et qu'un bienfait naisse d'un bouleversement nécessaire, car positif pour la construction de l'avenir.

Avant d'aller plus loin, serait-il nécessaire qu'il y ait concertation, ou bien faut-il indirectement imposer son point de vue ?