Cueillir

Se promener dans les bois, quel émoi !
Rien que nous deux, toi et moi
Emotion du matin, contre le chagrin
Amour de la folie, bien plus malin !

Accueillir le soleil, sans sommeil
Les grands mères veillent
A ce que tu épluches la vie
Où tout commence et rien ne finit

Nous crions tous au loup
Jusqu'en devenir fous
Mollesse de la paresse
Que j'aime tes caresses !

Je suis ton amant, dans le vent
La complainte émerge lentement
Nous sommes toi et moi
Pour un bel émoi

Suspendons la vie, ma colombe
Nous vivons bel et bien dans l'ombre
D'une troïka et d'une Harley
Soyons fiers de notre vallée !

Toujours prêts, comme les scouts
Nous sommes à l'écoute
Pour la gente féminine
Quelle voix sublime !

FAIRE LE MAXIMUM

Pour faire grève
Il faut être brève
Pour une renaissance
Et une belle jouissance

Je suis malade de toi
Cela créé un émoi
Emotion fugace
Désir tenace

Etre amoureux, les bienheureux
Cela fait bien des envieux
Vieillir à côté de toi
Est une joie

Cela n'est pas difficile
Ne pas être docile
Dolent et débile
Versons pas la bile

Vernissage d'un passage
Où il faut être sage
Pour s'amuser un peu
Avant de devenir vieux

Street art : son évolution

Depuis 20 ans l'art de la rue, qui consiste à faire des graphes sur des immeubles et les murs d'une ville, qu'on appelle communément street art, s'est considérablement amplifié pour devenir des œuvres  à part entière, faisant partie du paysage urbain.

Ces œuvres sont plus ou moins décoratives, mais transmet toujours un message qui peut être onirique ou non, surtout se fond dans une ville où le béton ne doit plus être roi.

 Cela signifie que les habitants D'une ville, une minorité au début, ont décider de transformer le paysage urbain en une notion plus harmonieuse et aussi fonctionnelle, d'un paysage où la gaîté et la couleur remplacent la morne tristesse d'une ville polluée.

C'est pourquoi, le street art, a été approprié par une intelligentia  permettant son développement, peut être pour une amélioration et un pas vers une cité plus paisible ?