mercredi 25 décembre 2013

Tristesse
 
D'un passage lourd
Je ne suis pas sourd
J'entends ta peine
J'entends le pène
D'une serrure qui s'ouvre
D'une rime pauvre
Vers l'infini
Quelle mélancolie
Jusqu'au bout de la lumière
De toutes les manières
Je te consoles
Je te consommes
Tu nte consumes lentement
Comme un costume charmant
Boutonnière d'argile
Pieds fragiles
Je suis à l'écoute
De ton doute
Ô tristesse infinie
Point ne le nie
Désert dans ton coeur
Tu connais la peur
Tu n'es pas libre
Mais plutôt ivre
D'une liberté certaine
D'une cassure hautaine
Penses à moi qui t'aime
Quel beau thème

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